Parfois, on ne sait pas exactement pourquoi, mais on sent que quelque chose doit changer. Et il suffit d’un premier pas. Un espace pour déposer ce qui pèse, clarifier ce qui bloque, retrouver un peu de souffle.
En sortant d’une séance, on repart souvent plus léger. Comme si, petit à petit, les choses retrouvaient leur juste place, et qu’on se souvenait de ses propres ressources.
Vous pouvez, vous aussi, prendre ce temps pour vous. Il suffit de sauter le pas, et de prendre CE rendez-vous. Un rendez-vous pour avancer, à votre rythme, dans la bonne direction.
Comprendre pour mieux choisir…
Il existe plusieurs approches thérapeutiques, chacune ayant ses spécificités, ses méthodes et ses objectifs. Voici un aperçu des principales formes de thérapie que vous pouvez rencontrer, pour vous aider à faire la différence et à mieux comprendre ce qui pourrait vous convenir.
La thérapie TCC (Thérapie Comportementale et Cognitive) est une approche concrète,
structurée et centrée sur le présent.
Comment ça se passe ?
Une TCC se déroule en plusieurs étapes, toujours dans un cadre bienveillant et collaboratif :
1. Comprendre :
Ensemble, nous mettons en lumière les schémas de pensée et les réactions automatiques qui posent problème.
2. Observer :
Vous apprenez à repérer ces mécanismes dans votre quotidien, sans jugement.
3. Expérimenter :
Grâce à des exercices concrets entre les séances, vous testez de nouvelles façons de réagir, de penser, d’agir.
4. Transformer durablement :
Pas à pas, vous gagnez en clarté, en liberté d’action, et en apaisement.
Quelques détails...
Elle aide à identifier, comprendre et transformer les pensées, émotions et comportements qui créent de la souffrance ou empêchent d’avancer.
La TCC n’est pas une thérapie passive : vous devenez acteur·rice de votre changement,
accompagné·e à chaque étape. Elle est efficace pour les troubles anxieux, les phobies, la
dépression, les troubles obsessionnels, l’estime de soi, ou simplement pour mieux gérer le
stress du quotidien.
On parle ici de la thérapie dialéctique comportementale (DBT), qui s’appuie sur les émotions pour traiter certaines pathologies.
Comment ça se passe ?
La thérapie DBT se fait en plusieurs temps chaque semaine :
1. Un suivi individuel (1 fois par semaine)
Un moment avec votre thérapeute pour parler des situations difficiles, comprendre ce qui s’est passé, et apprendre des stratégies concrètes pour aller mieux. C’est un espace sécurisant et sans jugement.
2. Un groupe de compétences (1 fois par semaine)
Vous êtes en petit groupe (comme un atelier) pour apprendre des outils simples et utiles dans 4 domaines :
Chaque semaine, vous repartez avec des idées à tester dans votre quotidien.
3. Maintient du lien entre les séances
Il peut y avoir des courts échanges téléphoniques ou écrits (selon le cadre établi) pour vous aider à utiliser les outils appris, au bon moment, dans la vraie vie.
4. Un travail pluridisciplinaire
Avec d’autres professionnels de soin/ et supervision de la psychologue qui vous suit (donc moi)
Quelques détails...
La DBT est faite pour vous si :
On parle de thérapie « dialéctique » parce qu’elle repose sur un équilibre entre deux choses importantes :
L’hypnose, quand elle est intégrée à la thérapie comportementale et cognitive (TCC), n’est ni magique ni mystérieuse. C’est un état naturel de conscience modifiée, proche de la rêverie ou de la pleine attention, qui permet d’accéder autrement à ses ressources internes.
Comment ça se passe ?
Lors de certaines séances, vous serez invité·e à entrer dans un état d’attention focalisée et
relâchée, accompagné·e par la voix du thérapeute. Cet état permet de :
Pourquoi l’utiliser dans une TCC ?
La TCC travaille sur les pensées, les émotions et les comportements. L’hypnose ajoute une dimension corporelle et émotionnelle, parfois plus intuitive, qui permet de s’engager autrement dans le processus de changement. Elle ne remplace pas le travail TCC — elle le complète et l’enrichit.
Quelques détails...
Dans le cadre de la TCC, l’hypnose est utilisée comme un outil complémentaire, au service
des objectifs thérapeutiques :
→ Mieux gérer les émotions
→ Dépasser une peur
→ Changer une habitude
→ Retrouver un ancrage corporel
→ Ou encore se reconnecter à un état de calme ou de sécurité intérieure
Seul(e) un(e) vrai(e) professionnel(le) peut vous aider. Ca tombe bien, j’ai plus de 13 ans d’expérience dans le domaine ! Je serai donc rapidement capable d’identifier comment vous aider et vous accompagner dans vos problématiques perosnnelles…
La première séance n’engage à rien. C’est un temps qui nous permet de faire connaissance et de décider ensemble si on part dans l’aventure de la thérapie ou non. Une fois parti.es, il y a une forme de contrat qui s’établit entre nous.
Pendant nos séances, je vous réponds, je vous pose des questions, et parfois j’illustre mes explications avec des dessins, ou des schémas (et quand on est assez à l’aise, ça peut même nous arriver de rire avec les patients. Si si je vous assure !)
La psychoéducation, c’est vous transmettre mes connaissances sur le problème/les symptômes que vous rencontrez. Je vous propose un subtil mélange entre mes connaissances universitaires en TECC, mes formations
scientifiques personnelles (colloques, conférences, lectures), et si besoin mes propres expériences de vie. Avec parfois une touche d’humour, et de spontanéité.
Je pars du postulat que personne ne vous connait mieux que vous-même. Spoiler ! Mes connaissances théoriques, seules, ne suffisent pas. Vous vivez avec vous-même depuis x années, vous avez accès à vos pensées, vos sensations, vos souvenirs,… bref toute votre vie intérieure. Autant vous dire qu’en cette matière, j’ai un train de retard sur vous. Que je ne peux pas rattraper en 1h d’échange.
C’est là ma limite.
Mes connaissances sont surtout théoriques. Donc générales. Je n’ai pas encore été formée à vous. Ma formation (personnalisée disons) commence au moment où je vous découvre au 1er rendez- vous. Et c’est là que vous pouvez m’aider à vous aider. En m’apprenant à mieux vous connaitre, comme si vous étiez mon formateur ou ma formatrice.
Pour certaines personnes la confiance s’installe rapidement, pour d’autres elle peut s’installer au bout de plusieurs séances. Donc au début, on prend le temps de se découvrir. On apprend l’un.e de l’autre. Et on construit ensemble la relation thérapeutique qui vous ressemble. Sans jugement, ni précipitation.
Souvent vous arrivez dans mon bureau avec beaucoup de souffrance, qui peut-être s’est accumulée au fil des années. Et la sensation d’être pris.e dans une grosse pelote de laine. Avec des nœuds de partout. Le fil famille, le fil travail, le fil relation amoureuse, le fil amical, … Tout se mélange. De quoi s’y perdre.
Ensemble nous allons prendre le temps de poser cette pelote devant nous, de l’observer, de la comprendre, et de l’explorer comme des scientifiques de série télé. Avec nos outils on va prendre fil par fil et voir ceux qui aident à dénouer les situations problèmes.
Si c’est votre première séance avec un.e psychologue, alors vous avez déjà :
appris à faire face la peur de l’inconnu et à l’inconfort de l’incertitude.
appris à vous détacher des potentiels jugements ou idées reçues sur les personnes qui vont en thérapie.
mis en place un processus de réflexion et de remise en question de votre fonctionnement, avec la volonté de travailler dessus.
fait l’expérience d’écouter votre besoin d’aide, et la demander à un.e professionnel.le.
Et oui, en étant simplement présent.e à votre 1ère séance de thérapie vous avez déjà accompli tout ça !
Donc à partir de là, quoi qu’il arrive, c’est du plus. Quand vous arrivez devant moi on ne part pas de 0. Souvent sans vous en rendre compte, un grand pas a été fait. Seulement, continuer à avancer seul.e, et essayer de voir les choses autrement à travers les mêmes lunettes colorées, c’est presque mission impossible. Alors si ça vous dit, je vous prête les miennes. Mais avant ça, j’ai besoin de quelques informations.
Voici les 4 questions que je pose souvent lors de notre 1ère rencontre. Ça me donne les informations dont j’ai besoin pour vous aider. Et en plus ça diminue une part d’inconnu.
Voyons la thérapie comme un super voyage que l’on prépare à deux. Vers où voulez-vous aller ? Quelle destination ? Dans quelle direction ?
VOTRE OBJECTIF CONCRET
Quand vous avez essayé d’atteindre ce but par vous-même, qu’est-ce qui vous a bloqué.e ?
LES BLOCAGES INTERNES
En vous inspirant des expériences passées, quelles sont les ressources qui nous aideront à atteindre votre objectif ?
VOS RESSOURCES
Imaginons maintenant qu’on prenne la route ensemble, qu’est-ce qui dans votre environnement pourrait nous empêcher d’arriver à destination ?
LES BLOCAGES ENVIRONNEMENTAUX
Dans certaines situations, il peut arriver que je redirige un patient vers des confrères-consoeurs/autres professionnels.elles expert.es. Voici quelques exemples de situations :