Je suis psychologue clinicienne depuis 2013, formée à la TECC. J’ai la chance de faire un métier qui me passionne et qui est profondément aligné avec qui je suis.
Pourtant étant à la base trilingue et assez nomade, ma vocation première était de devenir interprète. Jusqu’au lycée, où j’ai aidé une camarade de classe après sa tentative de suicide. Elle m’a confié un jour, bien plus tard, que les mots simples et sincères je lui avais écrits dans une lettre lui avaient redonnés goût à la vie.
Comment vous décrire ce que j’ai ressenti ? J’ai été profondément émue par son vécu et j’ai eu envie de transmettre ça à d’autres personnes. Le déclic s’est fait, je voulais être psy.
Ça, c’est moi ! Enfin, version illustrée, parce que oui, je suis aussi artiste en parallèle de ma profession de psychologue !
Pourquoi je vous en parle ? Parce que je pense qu’il est important pour mes patients de connaître ma sensibilité artistique. Il s’agit pour moi d’un véritable atout au quotidien.
Je pense sincèrement que chaque personne en demande d’aide est légitime d’être écoutée avec attention, dans un espace sans jugement, où elle peut exprimer librement ce qu’elle pense, fait ou ressent. C’est cette écoute et cette présence que j’ai à cœur d’apporter aux patients que j’accompagne, et qui fera de notre relation thérapeutique un espace réparateur.
Être psychologue c’est donc avant tout construire une relation d’humain à humain, sincère, basée sur la confiance et la compréhension mutuelle. C’est aussi vous offrir un espace assez sécurisant pour engager des conversations profondes, qui vous invitent à la réflexion sur votre manière de penser, de percevoir le monde et de vous percevoir vous-même. C’est à ce moment-là que je partage avec vous ma caisse à outils où je range les connaissances que j’ai acquises dans ma formation universitaire, dans mes formations continues personnelles et parfois à partir de mes propres expériences de vie si besoin.
Mon plus grand plaisir est d’observer la croissance de ces petites graines que l’on plante ensemble, et de voir les patients.es s’épanouir à leur rythme, ou même s’envoler pour quitter la cage dans laquelle ils ou elles se sentaient enfermé.es. Ce qui me motive profondément, c’est de voir émerger chez les patients ce sentiment de liberté, de les voir reprendre le contrôle de leur vie, et aussi accueillir avec bienveillance les changements, et les incertitudes qui les accompagnent.
Mon expérience personnelle face à une maladie grave m’a permis de mieux comprendre ce que signifie être à la fois patiente et professionnelle. Elle m’a appris l’importance d’un accompagnement sincère, où chaque personne se sent réellement prise en compte dans la relation, au- delà des techniques, exercices ou outils.
Après une longue réflexion, et une grosse remise en question, j’ai fait le choix de quitter l’hôpital et le cabinet, pour instaurer des consultations online
Cette voie me permet d’établir des connexions authentiques avec les personnes que j’accompagne tout en préservant les activités et les temps de vie privée dont j’ai besoin pour être ressourcée et rechargée. Et donc avoir en face de vous une psy saine et en forme.
Travailler online permet selon moi de vous garantir un espace de qualité, où le temps consacré à chaque personne est respecté et valorisé.
Flexibilité d’organisation
Tout terrain
Horaires décalés (après votre travail)
Pas de temps de trajet à prévoir en plus du temps de consultation
Pas de contraintes de route, bouchons, parking
Espace sécurisant, et connu : chez vous, dans votre voiture (à l’arrêt bien sûr), sur votre lieu de vacances
On ne croise pas d’autres patient.es
Avoir une connexion wifi qui beugue parfois
Prévoir de la batterie dans le téléphone ou l’ordinateur
Trouver un lieu sans être interrompu.e ou entendu.e
Être distrait.e par son image sur l’écran (au début)
Autres appréhensions auxquelles je n’ai pas pensé (n’hésitez-pas à me les partager)
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13 & 14 juin 2019
2021
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